Catégories : Femmes soumises SM camisole
il y a 10 ans
Un très beau texte de Florent Belloeil que j’ai retrouvé sur mon DD
J'ai découvert le plaisir que peuvent procurer les rapports Dirigiste-Soumise en 1996.
Libertin depuis toujours, je fréquentais avec une certaine assiduité les soirées échangistes organisées dans les environs de Tours. Je m'adonnais également, avec des fortunes diverses, aux rencontres minitel. Je croisais cependant sur un serveur régional une femme d'une quarantaine d'années. Nous avons très rapidement sympathisés et nous sommes aperçus que nous fréquentions tous les deux les mêmes soirées. De confidences en confidences, mise en confiance, elle m'avoua son désir de réaliser un de ses plus anciens fantasmes, être soumise à un homme.
D'un naturel très serviable, et très attiré par l'idée de totalement diriger le corps d'une femme, nous passâmes de longues soirées au téléphone, afin de préciser nos fantasmes communs, nos désirs et, plus importants encore, nos interdits...
Si nous n'avions ni l'un ni l'autre été séduits par nos physiques respectifs, (de taille moyenne et blond, elle me préférait les grands bruns, brune et assez forte, je me languissais de petites blondes affectueuses...), cela ne constituait aucunement un handicap majeur lors de nos soirées à " thème ". Nous décidâmes de nous voir un soir chez moi. Elle sonna avec cinq minutes de retard. Je l'avais observée de ma fenêtre, hésitante dans sa voiture.
Allait-elle oser enfin affronter ses désirs les plus intimes et les plus inavouables ?
J'ouvris donc la porte. Elle se tenait devant moi, les yeux baissés, comme je le lui avais demandé. On sentait qu'elle était très émue, son corps ne parvenant totalement à dissimuler un léger tremblement.
- " Souhaites-tu toujours m'appartenir ? "
- " Oui ", répondit-elle, après quelques instants d'hésitation
- " Entre "
J'adoptais volontairement une attitude très sobre, sans aucune amabilité, souhaitant ainsi augmenter encore son trouble, sa gêne... Dès son entrée, elle prit dans son sac le martinet que je lui avais demandé d'apporter et me le présenta comme une offrande, apposé sur ses deux mains.
- " Relève ta jupe "
Je l'avais prévenu que je souhaitais, dès son entrée, prendre possession de son corps. Elle devait donc me présenter son sexe, afin que je vérifie son excitation...
Elle était particulièrement mal à l'aise, mais releva sa jupe, me dévoilant ses deux grosses fesses. Comme prévu, elle ne portait pas de culotte. Son sexe, plutôt poilu, était trempé. Elle n'avait pas eu besoin, comme je lui avais soumis l'idée, de se caresser dans sa voiture. Elle m'avoua que, depuis notre dernier appel convenant de ce rendez-vous, elle demeurait constamment excitée. Qui plus est, l'interdiction que je lui avais donnée de se masturber avait décuplé son désir.
- " Tu as cinq minutes de retard ! " dis-je en lui administrant une fessée très appuyée, qui la saisit sur place.
Elle eut bien une demie - seconde la volonté de se rebeller mais, se rappelant qu'elle m'était soumise depuis son entrée chez moi, elle se mordit la lèvre et ne dit mot.
- " Penche-toi en avant sur le canapé ! "
Elle avait compris, et, relevant totalement sa jupe, dévoilant ses deux gros globes laiteux, se pencha.
- " Tu vas compter avec moi tes vingt fessées de punition, et je ne veux pas t'entendre ! "
Elle oublia, comme je le pensais, de compter la fameuse " numéro zéro " et se trouva ainsi vexée que je le lui rappelle. J'alternais l'intensité des fessées, souhaitant découvrir peu à peu ses capacités, l'adaptation entre fantasme et réalité étant parfois plutôt difficile...
Quelle épreuve pour elle ! Ses grosses fesses rougissaient mais sa principale humiliation consistait à s'exhiber ainsi sans aucune pudeur devant moi. Elle, si mal à l'aise avec son corps, sa sexualité, se montrait, nue, soumise, et l'idée de m'exposer sa féminité et, plus encore, ses désirs, ses pulsions, sans aucune gêne, sans crainte de mon opinion, lui permettait enfin de se sentir femelle. Elle ne paraissait plus, elle était, enfin !
Une fois sa punition terminée, je plongeais ma main entre ses cuisses. Elle m'appartenait. Son corps était à moi. C'est ce qui lui plaisait. Elle était très excitée et je n'eus aucune difficulté à introduire deux doigts dans son sexe. Je ne faisais preuve d'aucune tendresse, d'aucun geste affectueux avec elle. Je pinçais ensuite ses deux grosses mamelles. Son visage se déforma sous la douleur. Ses tétons se durcirent. Elle avait les seins très sensibles et ce mélange de douleur physique et d'excitation décuplait son plaisir. Elle se mit à gémir de douleur. Je la giflai immédiatement !
- " Tais-toi, je ne dois pas t'entendre ! "
Des larmes perlèrent sur ses joues...
Après avoir alterné pincements et mordillements, je la remerciai de ses efforts en flattant ses seins, en léchant tendrement le bout de ses seins. Elle gémit de nouveau. Elle était totalement excitée et ses yeux semblaient me supplier de la faire jouir. J'allai chercher une corde. J'enserrai ses deux seins dans celle-ci et la nouai dans son dos. La douleur devenait beaucoup plus intense. Lorsqu'elle me vit arriver avec plusieurs pinces à linges, elle ne put s'empêcher de parler.
- " Oh non, s'il te plait, non pas ça ! "
Elle connaissait la règle du jeu. Tant qu'elle ne prononcerait pas le mot que nous avions choisi l'un et l'autre, rien ne m'empêcherait de continuer ! Je plaçai donc la première pince sur son sein. Elle commença à se trémousser, se contorsionner et reçut une magistrale fessée en punition ! Elle réussit à rester quasiment impassible pour la seconde pince. Je pris du recul.
- " Tu es superbe comme cela, tu voulais souffrir te voilà servie, et ce n'est qu'un commencement ! Ton corps m'appartient, n'oublie pas ! ".
Elle m'avait avoué souhaiter souffrir avant de pouvoir jouir. C'était bien le cas !
Je pris le martinet.
- " Tu n'as pas respecté le silence prévu tout à l'heure pour la première pince. Vingt coups de martinet ! "
Elle ne put s'empêcher de se retourner et de me supplier d'arrêter. Le premier coup la saisie ! J'attendais. Rien ne venait. Je lui rappelai donc qu'elle devait à chaque fois compter les punitions qu'elle recevait. Elle n'oublia pas le " 0 " au coup suivant ! Ses fesses devinrent rougissaient. A la onzième, elle ne put s'empêcher d'interposer ses mains entre les lanières et son fessier dodu.
- " Dix de plus ! "
Elle se mit à pleurnicher, se contorsionna.
- " Arrête de pleurer ! Tu as souhaité être ma soumise, tu l'as choisi. Si tu veux être ma femelle, oublie ta douleur et je serai fier de toi ! "
Ces paroles la requinquèrent. Je ne l'entendis plus, excepté pour décompter les nouveaux coups qui s'abattirent sur ses fesses, ses reins, son sexe, ses jambes. La punition infligée, je me rapprochai d'elle. Nos corps se frôlaient. Elle sentait mon souffle dans son cou et je percevais de mon côté l'excitation qui était la sienne, le murmure de ses gémissements, les tremblements qui secouaient son corps. Je lui fis face, ouvrit sa bouche et y glissa le manche du martinet.
Nos regards se croisèrent. Les paupières humides, le regard craintif, inquiet sur la nouvelle punition que redoutait désormais son corps à chaque instant. J'étais fier d'elle et le lui fit comprendre dans ses quelques secondes de complicité totale où nous pouvions, elle et moi, lire au plus profond du corps, du désir de l'autre. Mes ongles commencèrent à parcourir ses épaules, alternant caresses et griffures. Je tournais autour d'elle, la proximité de nos deux corps renforçant encore son sentiment d'impudeur. Elle était à moi et jamais elle ne l'avait autant ressenti qu'à cet instant. Pendant que je lui griffai lentement le dos, ma main gauche caressai ses seins, son ventre, puis frôla son pubis pour s'arrêter plus longuement sur ses cuisses. Son bassin venait à la rencontre de mes doigts. Je lisais le désir dans tout son corps.
Je la fessai et commençai, enfin, à caresser son clitoris. Elle gémit immédiatement et laissa échapper le martinet. L'intensité de la claque qui suivit la pétrifia. Elle fut surprise par cette punition qui lui rappela sa condition. Je repositionnai le martinet et pendant que je la fessai, la caressai de nouveau, en lui ordonnant de se concentrer. Mon index la frôlai, l'excitait, alternant les pressions plus ou moins fortes sur son bouton. Je m'insinuais peu à peu dans son sexe, écartant ses grandes lèvres sur lesquelles je m'arrêtais quelques instants.
Elle se trémoussait et tout son corps réclamait cette pénétration qui ne venait pas. Mes doigts repartirent vers ses seins et je percevais un soupir, mélange d'excitation et de déception. Elle fut donc particulièrement surprise par les deux doigts que j'introduisis immédiatement dans sa chatte trempée. Deux autres les rejoignirent bientôt. Elle avait un sexe plutôt large et, trempé, il facilitait la pénétration. Mon pouce, quant à lui, continuait à caresser son bouton. Malgré les coups qui continuaient de s'abattre sur son fessier, je percevais la montée du plaisir la submerger très rapidement.
- " Maître, Maître, je, je ... je vais jouir ! "
Je retirai immédiatement ma main de son sexe. La frustration qu'elle ressentit à cet instant fut plus insupportable que bien des coups reçus depuis son arrivée chez moi...
- " Tu connais notre accord, ton corps et ton plaisir m'appartiennent ! Je suis le seul à pouvoir profiter sans gêne de ton corps, de ton sexe, de ton plaisir. Tu dois me demander l'autorisation d'être une salope et d'en jouir ! "
Je savais que ces mots la comblaient ! Elle fantasmait sur cet abandon, sur ce don de son corps, de sa sexualité, de son plaisir, à un homme dont les ordres ne souffraient aucune contestation. Je devenais le maître de son corps, des fantasmes qu'elle m'avait confiés. Aucun obstacle ne pouvait, comme dans sa vie monotone, l'empêcher de s'accomplir, d'être enfin la femelle qu'elle avait toujours rêvée de devenir ! Elle oubliait, enfin, son physique, l'insupportable poids du regard des autres. Elle s'abandonnait. Elle ne s'était jamais sentie aussi vivante, femme, femelle, que ce jour là.
Je lui ôtais les pinces et flattait ses tétons. Elle grimaça un peu de douleur. Son corps tremblait. Elle se sentit submergée par l'émotion et ne put cacher de nouvelles larmes. J'enlevais la corde et détachais ses seins, totalement cramoisis.
- " A quatre pattes ! "
Elle s'exécuta immédiatement. J'écartais plus encore ses chevilles avec mes pieds. La vue de son sexe m'était totalement offerte et elle le savait. Elle devinait mon regard sur sa chatte... Je m'accroupis. Je pouvais humer ses odeurs intimes. J'observais les poils humides, témoins de son état d'excitation total. J'enfouis de nouveau mes doigts dans sa chatte. Elle s'abandonnait enfin totalement, sans aucune gêne.
- " Oh oui ! Oui ..."
Après quelques instants, elle me prévint de la proximité de son orgasme. J'interrompis de nouveau immédiatement mes caresses et lui fit face, accroupi. Nos regards se croisèrent. Elle baissa les yeux. Je la fis se redresser, tout en demeurant accroupie. J'écartais ses cuisses et lui fit croiser ses mains dans le dos. Mon index, seul, commença à tourner sur son clitoris. Immédiatement ses gémissements reprirent. Elle se tortillait. Elle sentit très vite qu'elle allait jouir.
- " Oh Maître, Maître, laissez moi jouir ! "
- " Comment ? "
- " S'il vous plait, Maître, Maître, laissez moi jouir ! "
- " Tu as envie de jouir, tu aimes ça baiser et jouir ? "
- " Oh oui Maître, j'aime ça, j'aime baiser, je suis une salope ! Je suis votre salope ! "
- " Je veux t'entendre jouir, je veux lire le plaisir dans tes yeux " lui dis-je, en relevant son menton.
Elle s'abandonna enfin, criant son plaisir, hurlant sa féminité. Quelle intensité, quelle complicité, quelle perversion dans son regard... Nous étions unis, liés par cet instant de pure magie, ce moment où elle osait, enfin, être elle-même, vivre, jouir de ce corps qu'elle n'avait pas choisi, qu'elle tentait de renier, de modifier depuis quarante ans.
Elle se dévoilait, elle s'acceptait. Je la laissais savourer ces instants. Le jeu reprenait, et j'endossais de nouveau mon rôle.
- " Assieds-toi sur cette chaise, et montre-moi ta chatte ! "
De nouveau elle baissa les yeux.
- " Tu es ma femelle, sois fière de l'être, regarde-moi ! "
Plus encore que son sexe, je voulais qu'elle dévoile son âme, ses envies, qu'elle assume sa sexualité.
- " Parle-moi de toi, de ton sexe. Raconte-moi tes premiers émois sexuels, tes premiers attouchements, ta première partie de baise "
J'étais volontairement vulgaire, je souhaitais effacer toute trace de distinction, de socialisation entre elle et moi. Elle ne devait plus écouter son esprit, son éducation, mais son corps, son sexe, son cul. Elle me raconta sa vie sexuelle... Après avoir pris possession de son plaisir, je prenais possession de son histoire de vie.
Je posais les questions les plus intimes, sans aucune gêne, sur le plaisir qu'elle parvenait parfois à glaner, sur ses difficultés à draguer les hommes qu'elle convoitait, à supporter le regard moqueur des gens. Elle avait compensé, très jeune, le fait que son corps ne corresponde pas aux canons physiques habituels par une plus grande liberté de mœurs. Mais, sa réputation la rattrapa rapidement et elle recueillit très vite les regards inquisiteurs des autres filles. Elle fut de plus surprise très dévêtue un jour par ses parents.
Sévèrement réprimandée, elle rentra dans la normalité... Mariage insatisfaisant, deux gamins, divorce, absence quasi totale de sexualité, masturbation fréquente mais frustrante.
- " Désormais, tu es une femme, avec un sexe, une femme qui aime baiser ! Alors montre-moi, et sois fière de ton corps, de ton cul ! " lui dis-je, en lui tendant un gode de très belle taille, après s'être étendue sur mon lit.
Elle suça le gode comme je le lui avais demandé.
- " Vas-y, sois sensuelle, abandonne-toi, flatte cette queue qui va te faire jouir ! "
Elle s'appliqua. Elle commença ensuite à se branler, jouant avec ses petites lèvres, me dévoilant sans aucune gêne sa chatte. Sa main droite caressait désormais son clitoris, glissant peu à peu plusieurs doigts dans son sexe trempé.
- " Vas-y, baise-toi ! "
L'impudeur de la situation et la vulgarité de mes propos accentuaient encore, si besoin était, son excitation. Le gros gode la pénétra d'un seul trait. Elle commença à gémir. Ses doigts accéléraient leur rythme. Elle poussait des petits cris. Elle osa me demander l'autorisation de jouir. De nouveau, je lui intimais de croiser mon regard, ce qui décupla son plaisir.
- " Ne t'arrête pas, continue de te baiser ! "
Sa main droite laissa son clitoris se ressourcer mais sa main gauche activait toujours le gode. Et la montée du plaisir fut très rapide !
- " Lentement, savoure, attends ! "
Je me déshabillais devant elle et commençais à mon tour à me masturber. Quelques secondes après je la rejoignis sur le lit et m'allongea à ses côtés. Ma voix, les insanités que je proférais ne tardèrent pas à la faire jouir de nouveau. Là encore, je l'obligeais à continuer de se baiser. Je l'obligeais ensuite à se mettre un doigt dans le cul. Je la savais vierge de ce côté là. L'excitation et l'anxiété se mêlaient donc, mais elle m'obéissait. Elle continuait le jeu...
Elle se tourna comme je lui demandais. Elle me présentait de nouveau son cul. Pendant qu'elle continuait de se branler, de se baiser, je f o r ç a is lentement son petit trou. Elle se contractait mais la montée du plaisir était trop forte et reprenait le dessus. Elle s'abandonna encore dès que je l'eus entièrement pénétrée. Je jouis sur son opulente poitrine.
Françoise rencontra l'âme sœur quelques semaines après...
Je ne rencontrai pas de nouvelles complices de jeux dignes de ce nom pendant plusieurs mois, jusqu'à Véronique, avec laquelle j'allais parvenir à une totale osmose, parvenant à nous dépasser l'un et l'autre dans la perversité et l'amour...
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Très beau texte en effet. | |
Un récit très joli et une initiation qui commence fort. Merci pour le partage ! |
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